GoodOneO

31.1.07

Top 5 de la honte

1 – Un jour, je me baignais avec trois ou quatre amis, dont si je me rappelle bien, une ou deux filles. À plus ou moins 300 mètres du rivage, une envie soudaine me pris par surprise. En d’autres mots, j’avais le cigare au bout des lèvres. Je n’ai pu me retenir bien longtemps et j’espérais que les déchets humains ne flottaient pas. Ne faite pas l’expérience, ils flottent ! Mes copains se sont tous regardés et se sont étrangement éloignés. Vraiment très classe.

2 – Lors d’une sortie entre amis vers l’âge de 10 ans, nous sommes allés dans un Laser Tag (un peu le même principe du paintball mais avec des guns lasers). Lorsque nous avons fini le 15 minutes qui nous était accordé, l’employé de la place nous a donné nos scores. Quand il m’a nommé comme étant le premier, j’ai regardé mes amis d’un air hautain en les traitant de tous les diminutifs possibles jusqu’à ce que l’employé nous dise qu’il s’était trompé. En fait, j’étais le dernier.

3 – À mon bal des finissants du secondaire, j’avais la fraise la plus grosse possible de voir dans les champs et cela dans mon si beau visage. Pas un bouton du genre « Hey, tu appliqueras un peu de fond de teint là-dessus. », il était plutôt du genre « Chérie, si tu te présentes avec ça dans la face au bal, je te jure que j’y vais seule et que si on te pointe en riant, je ferai de même. ». D’ailleurs, j’en ai encore la cicatrice.

4 - N’avoir pas tenu plus de cinq secondes au lit avec une fille qui m’impressionnait vraiment. Quand je dis cinq secondes, c’est vraiment le cas, même peut-être moins. Si le matelas n’aurait pas été directement sur le sol, j’aurais été me cacher dessous. La honte, je vous jure.

5 – Lors d’un voyage en famille près de la Gaspésie, je pêchais le Macro du haut d’un quai d’environ dix pieds. Quoique les poissons ne semblaient pas y être, il y avait une dizaine de pêcheurs. Lors d’un lancer, j’ai suivi et me suis retrouvé dans l’eau. Mouillé de la tête au pied, je suis remonté par l’échelle sculpté dans le béton avec la canne à pêche que j’ai réussi à sauver. Ma petite sœur a pleuré une heure entière tellement elle avait eu peur en me voyant chuter.

Maintenant, marrez-vous.

29.1.07

Marque d'attention

Samedi soir, alors que namour semblait à moitié morte couchée sur le sofa et que je venais de me servir un Bailey’s sur glace, la zombie du sofa se décida à lever les yeux vers moi. À en voir ses yeux, je compris qu’elle allait me demander quelque chose.

- Marc, tu veux bien me prendre deux tylenols dans la pharmacie, j’ai tout un putain de mal de tête.
- Bien sûr namour, ne bouge pas, tu veux de l’eau pour les avaler ?
- Non, tu veux me donner un Amaretto sur glace s’il-te-plaît ?
- Humm, tu viens de me dire que tu avais mal à la tête, non ? Tes désirs ne sont pas un peu contradictoires ?
- Ouais, j’avoues, fais-moi un « Amaretto sour » avec le shaker, il y aura moins d’alcool comme ça.
- Non, mais c’est pas ce que je voulais dire, tu as mal un mal de bloc alors je crois qu’un verre d’eau fera l’affaire.
- J’aime pas l’eau et je ne crois pas que le lait et les tylenols soient le meilleur mélange. Apporte moi une bière, ça te va ?
- Alors tu crois que ton estomac tiendra mieux sous le poids de l’acidité de la bière que celle du lait ?
- Ah puis merde, amènes-moi un grand verre d’eau et deux tylenols.

Ce même samedi, j’ai pu boire le Bailey’s, l’Amaretto et la bière. Je me suis abstenu de boire de l’eau pour que le partage soit équitable avec namour. Quelle belle marque d’attention de ma part, non ?

26.1.07

Corona

Suite à vos nombreuses demandes (ouais, parce que deux c’est plus qu’une), je vous présente Corona ! (sons de trompettes) En fait, elle est une hérissonne d’Afrique de couleur chocolat. Légal au Québec depuis peu de temps (plus ou moins depuis 2000 si je ne me trompe pas) comme animal domestique.



C’est une créature très craintive mais qui avec beaucoup de patience peut devenir affectueuse. En fait, c’est rare qu’ils deviennent affectueux mais bon, les hérissons restent des animaux exotiques. On peut les sortir de leur cage sans problème et les manipuler avec aisance. Les piques ne vous gênent plus avec un peu d’expérience pour les manipuler.


En tant que soins, ils en demandent plus qu’un chat et moins qu’un chien, le juste milieu quoi. Quoiqu’ils soient en général très propres, ils évacuent quand même mais le tout dans une litière (dans mon cas, elle aime mieux chier dans sa cabane que dans sa litière, alors je la laisse faire tant qu’elle ne dorme pas dedans).



Je ne vois pas trop ce que je pourrais dire de plus sans avoir à énumérer toutes les caractéristiques spécifiques aux hérissons alors ne vous gênez pas pour me poser des questions.

25.1.07

Je, me, moi

Je ne suis pas Hulk, ni Apollon. Je ne suis pas une femme, ni transsexuel. Je n’aime pas les seins trop gros, ni trop petits. Je n’ai pas de chien, pas de niche non plus. Je n’ai pas d’enfants, ni d’hémorroïdes. Je n’aime pas les américains, encore moins leurs voitures. Je n’aime pas mon voisin du bas… c’est réciproque.

J’ai 20 ans et tout mon sang. J’ai un hérisson chocolat et un chaton blanc. J’aime les expériences, tant qu’elles excluent l’accouplement de mon hérisson avec mon chaton. J’ai un tattoo dans le haut du dos, il signifie « Au jour le jour ». J’ai deux yeux, ils sont verts émeraudes. J’aime écrire, j’ai un blog et j’y écris. J’aime le film « L’expérience ». « Shrek », j’adore. Lire m’est une détente, les films aussi et les émissions à la con, non.

23.1.07

Bandit Académie

Suite à mon post Police académie ou pas loin, j’écris celui-ci suite à des développements assez comiques. Puisque le vol lui-même m’avait donné une idée de post, la capture du bandit se démarque aussi dans son genre. Quoique les policiers n’aillent pas été très efficaces pour empêcher le vol, ce bandit ne l’est pas plus pour revendre ses gains.

Le mec en question a essayé de revendre un des manteau de 7 000$ chez les Mohawks à Kanawake, ce qui n’est pas une mauvaise idée de départ. Comme on le devine, plusieurs items volés sont vendus dans ce trou du cul de la Rive Sud sans que jamais on ne les retrouve. Mais notre bandit ne pouvait se contenter du 7 000$ que valait le manteau, ni même d’un prix moins élevé, pourtant la logique le voulait puisqu’il était volé. Par conséquent, il essaya de le vendre 7 500$, voilà un homme qui a de l’ambition.

Voyant cela, les Mohawks ont commencé à jaser du prix exorbitant que cet individu quelque peu louche demandait. Cette jasette mit la puce aux oreilles des policiers de l’endroit, les même dont la question visait en actualité; Devrions-nous garder les policiers de la réserve Kanawake ou utiliser la GRC ? Tous ça pour en venir au fait que les policiers Mohawks ont appelé la GRC pour qu’ils viennent voir ce qui en était de ce jeune zigoto qui cherchait à vendre un manteau dans la réserve.

Lorsque la GRC lui ont mis la main dessus, le mec se défendait en disant que le manteau n’était pas volé et qu’il se l’était fait léguer. Seul problème, l’emblème de l’entreprise de mon père était encore cousu à l’intérieur du manteau. La GRC n’a eu qu’à lâcher un coup de fil à mon paternel pour savoir la vérité, ce manteau était un volé.

Conclusion de l’histoire, ce bandit en devenir a fait 2 erreurs monumentales. Première, si tu vends quelque chose de volé, tu le vend subtilement et certainement pas plus cher que sa valeur à neuf. Deuxième, si tu voles des objets, tu t’arranges pour qu’on ne puisse en aucun cas retracer leur
provenance. Et un Clap ! Clap ! pour notre bandit. Merci à toi d’avoir été si facilement repérable.

Encore une fois, histoire à suivre … Il reste toujours trois manteaux à retrouver, espérant que ce novice n’était pas le seul à l’être.

21.1.07

Échos vs Tercel

Fantastique de voir à quel point on s’amuse et qu’on se lâche lousse lorsque les intentions de départ n’étaient surtout pas de se retrouver dans ce club de Brossard. Je me faisais une idée de la soirée plutôt différente, genre lecture tranquille de Stephen King.

Donc lorsqu’un de mes chum se mit à me baiser les orteils pour que je l’accompagne, je n’ai pu que répondre par l’affirmation. Non pas que ça me disait vraiment comme soirée mais il fallait fêter sa sœur en grand pour son anniversaire de 18 ans. Nous avons donc mis le cap sur Brossard sans regarder en arrière. Nous sommes allés, nous avons bu, nous sommes revenus.

Comme ma maman me le disait ;
- Marc, quand tu sors et tu bois, tu dois absolument élire un chauffeur désigné.

Alors écoutant les échos de cette petite voix en sortant du club, d’un pas incertain et d’un élan encore plus désavantageux, je lançai mes clés à Pépito.
- Pépito, tu es le meilleur de nous tous, par conséquent ma mère a dit que tu devais chauffer pour revenir. Et si ma mère le dit, ce n’est pas à plaisanter, il n’y a pas de réplique possible.

Il aurait alors à nous mener de l’avant, de préférence. Ce qu’il fit à merveille durant une centaine de kilomètres (vous auriez aimé que je vous dise qu’on avait passé le clos rendre visite à ces vaches frigorifiées ? désolé, ce n’est pas le cas). Après quelques arrêts dans des escales improvisées, conséquence de ma petite vessie qui doit souvent être purgé, nous nous sommes retrouvé sur le bord d’une grande étendue d’eau où on y apercevait un énorme rocher percé. L’auriez vous cru ?

Rectification : Nous nous sommes retrouvé devant l’entrée de garage de Pepito à St-Timothée. Elle doit faire 30 degrés de pente par 30 mètres de long, s’en allant le plus en serpentant qu’il a été possible de la concevoir.

Il fit marche arrière pour y entrer, question que moi-même, je n’aille pas à le faire de reculon. Et … BANG ! En plein mon coin de bumper gauche dans le milieu de celui de con propre char.

Résultats : Ma Toyota Écho est bonne pour aller visiter le débosseleur alors que la Toyota Tercel de Pépito est bonne pour rien, elle n’a pas une grafigne.

Tercel 1
Écho 0

19.1.07

Parce que la drogue c’est bien, le jeu c’est mieux.

Parce que un c’est bien mais deux c’est mieux.
Jamais deux sans trois.
Parce que quatre représente les quatre saisons, les quatre directions (N,S,O,E) ou le nombre de dents de la plupart des fourchettes.
Parce que cinq c’est la moitié de dix et un dénominateur de 100.
Jamais 5 sans deux fois « jamais deux sans trois », donc six.
Semble-il que sept est un chiffre chanceux ? Allons-y avec sept.

Et ainsi de suite … Croyez moi, on peut se rendre loin en se persuadant de garder un semblant de logique.

Autant de bonnes raisons que de perdre des dollars dans cette satanée grosse machine à 1$ au Casino.


Je vous imagine déjà courir à votre tiroir à ustensiles compter les dents de vos fourchettes.

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