GoodOneO

29.3.07

Out of service

Je vous écris une dernière fois, ou peut-être pas. J’ai bien aimé vous lire et adoré me faire lire, réplique d’égocentrique. J’aurai vécu le temps d’une mince vie, le temps d’une vie moyenne allouée à un blogue. Je suis un lâche ? Qu’on me lance la première pierre, mais n’attendez pas que j’en trouve aussi, la lapidation a bien meilleur goût.

Toutes ces divagations pour dire que je prend un break ou que je meurs de ma belle mort. Je reviendrai peut-être, PEUT-ÊTRE. N’hésitez pas à supprimer mon blogue dans votre top full méga hot dans l’dash de blogroll.

Merci à tous ceux qui sont passés ici, même aux personnes cherchant des obscénités sur google qui sont malencontreusement tombés sur mes écrits, please try again.

Je vous invite à visiter ma blogroll, il s’y trouve des merveilles et de merveilleuses personne qui écrivent ces merveilles, merveilleux non ?

26.3.07

Reminder

Top 5 des choses que je suis fière d’avoir accompli :

1 - Mon DEC en Génie Civil.
2 - M’être trouver un travail s’y rattachant plus ou moins intéressant, mais très payant.
3 - Être en appartement avec une fille que j’aime.
4 - J’ai recommencé à m’entraîner.
5 - Je réussis à mettre les poubelles au chemin les bonnes journées et cela, avant que les vidangeurs aient passé.

Top 5 des choses que je veux accomplir prochainement :

1 - Les cours qui me permettrons d’être pompier à temps partiel (2 cours * 1 500$/ch.)
2 - Un voyage dans le sud avec Namour.
3 - Être propriétaire, d’une petite maison ou d’un duplex.
4 - Crever les quatre « tires » du pick-up de mon voisin du bas.

5 - M’acheter une nouvelle poubelle et l’enchaîner pour ne pas me la refaire voler.

23.3.07

Le Petit Prince

À la renverse dans mon lit, sans pouvoir atteindre le repos tant désiré, la nostalgie s’empare de moi. Je me vois, tout petit, écoutant la voix si rassurante de mon père. Il me raconte une histoire, la seule histoire qu’il m’est jamais racontée, répétée jusqu’à ce que le sommeil me prenne sous son aile.

- Hey Namour, ton papa te comptait des histoires quand tu étais petite et que tu ne pouvais pas t’endormir ?
- Pas que je me rappelle … et laisses moi dormir, je dois me lever tôt demain.
- Mais Namour, tu connais l’histoire du Petit Prince ?
- De quoi tu parles le Petit Prince ?
- Ben oui, tu sais, l’histoire du Petit Prince extraterrestre ?
- Petit Prince extraterrestre ?
- Tu me déçois, as-tu eu une jeunesse ? Tu ne connais pas l’histoire du Petit Prince venant d’une toute petite planète qui se retrouve dans le désert sur la Terre ? Il veut qu’on lui dessine un mouton, enfin, un mouton dans une boîte L’histoire est racontée par une grande personne qui dessinait un serpent fermé et ouvert, mangeant un éléphant.
- Tu divagues, endors toi et demain tu verras, tout ira mieux et tu t’apercevras que tu as rêvé cette histoire de toutes pièces.

Il est rare que je me décourage. Sachant que Namour ne me croyait toujours pas, le lendemain, j’en profitai pour passer à la librairie et j’achetai le Petit Prince. Depuis maintenant deux jours que j’incarne une voix rassurante, comptant l’histoire à Namour, page par page.

Après chaque chapitres, elle s’excuse d’avoir été si inculte face à ce conte merveilleusement révélateur et m’en redemande, jusqu’à ce que le sommeil vienne me prendre sous son aile.

Merci au Petit Prince.



P.S. : Je sais que c’est à la limite du pathétique et très « guidoune ». Ne vous détrompez pas, je fume encore, je m’engueule encore avec mon voisin du bas et je sors encore la fin de semaine à m’en faire souffrir le foie.

21.3.07

Shame on us

Jeunes, nous sommes cons mais étonnamment, conscients de l’être. Nous pouvons défier la réalité sous prétexte que nous sommes de jeunes cons inconscients. Entre autres, la réalité auquel nous sommes confrontés qui fait en sorte qu’un radeau doit flotter sans se volatiliser sous l’effet du soleil, mais durant combien de temps !

Dépassant les lois de la fiction, moi et mon frère, jeunes cons, et mes amis, tous autant plus cons, nous avions eu la superbe idée de se construite un grandiose radeau digne des plus sanguinaires pirates. Compte tenu que mon père faisait son « Sérafin », il ne voulait pas qu’on utilise ses planches de 2x4 destinées à la construction du quai sous prétexte qu’elles pourraient légèrement cambrées et devenir inutilisables, nous avons pensé à un radeau de glace. D’une ingéniosité défaillante, nous taillâmes dans la glace du lac un bloc suffisamment gros pour faire naviguer quatre jeunes explorateurs.

La plupart de la surface du lac était dégelée, ce qui rendait notre destination que plus facile à atteindre, une île, à une centaine de mètres du rivage, habitée de plantes et d’oiseaux des plus familiers. Nous partîmes sous le soleil d’un printemps lointain avec comme seul instrument fiable une rame à kayak.

Lorsque arrivées sur l’île, nous étions maîtres des eaux, la garde côtière pouvait aller se rhabillée sans quoi nous pourrions les dépouiller de tous leurs biens et couler leur navire.

Lorsque l’heure du départ sonna, nous étions redevenus de jeunes cons inconscients, conscients de l’être. Le soleil nous avait fait une surprise, châtiment de ne pas l’avoir suffisamment prié lors de notre croisade. Notre radeau avait fondu sous l’effet de la chaleur si bien qu’il était maintenant impossible d’y faire naviguer plus qu’un pirate.


- Papa ! Papa ! Hey papa ! S.T.P. papa ! Papa, nous sommes coincés sur l’île ! Shame on you ! C’est ta faute, si seulement on aurait pu prendre ton bois !

- Shame on ME ?! Dans ce cas, j’irai souper et j’essaierai de sortir la chaloupe par la suite. En attendant, vous pouvez toujours essayer d’attraper un oiseau, de partir un feu et de vous faire à manger. Sur ce, bonne bouffe.

Je l’aime mon popa parce que quinze minutes plus tard, tel Peter Pan, il est venu nous libérer de cet île maudite, hantée d’âmes de d’autres pirates moins chanceux.

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Bonne Fête Namour !¡!¡
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19.3.07

Note à moi-même

Plus le temps progresse, plus on oublie notre enfance. On oublie la lucidité qu’un enfant a, on oublie qu’il est capable de penser par lui-même et agir de son plein grés. Pour l’instant, j’ai seulement 20 ans, bien que la drogue aille agit sur mon cerveau comme une presse sur un citron, je me rappelle de certains états d’âme. La réflexion provient d’un rêve que j’ai fait, me voyant père sans pouvoir cerner l’atmosphère et la vitalité de l’enfance, comme entouré d’une brume épaisse. Je m’écris cette note en espérant pouvoir agir comme je le sens aujourd’hui, libre de toute pression d’engagement, avec les enfants que j’aurai certainement un jour.

Note à moi-même ;

- Encore aujourd’hui et pour les millénaires à venir, la punition règne en maître dans les relations familiales. Pourtant, je crois sincèrement qu’elle est inutile et dépassée. Je me donne comme exemple une situation pour laquelle je n’ai pas été puni compte tenu que mes parents sont toujours dans l’ignorance (en espérant que le filtre anti-parents fonctionne sur mon blogue, je divague, ça n’existe pas malheureusement ou heureusement). Moi et quelques amis, nous avions mis le feu dans le bois, n’ayant aucune idée de la progression rapide que le feu allait prendre. Dans la hâte, nous avons essayé d’éteindre le brasier. Sans succès, le feu engouffra mon bicycle Minelli qui venait de me coûter 600$ six mois plus tôt. Laisse moi te dire Marc-Alex que cette journée là, la punition était inutile.


- N’empêches pas ta progéniture de rentrer avant des heures aussi ridicules que 18h00, lui n’empêches pas de fréquenter tel ou tel autre ami et ne lui empêche pas de faire ce qu’il veut dans la vie. Les restrictions ne sont que causes de frustration. Les jeunes de la rue n’ont pas nécessairement des parents violents ou alcooliques, une majorité a des parents qui voyaient les règles comme des clôtures infranchissables, pourtant elles le sont. Et lorsqu’elles sont franchises, les remonter pour revenir entre leurs restrictions est bien plus difficile. Poses une clôture pour tes enfants mais mets une distance considérable entre les poteaux et n’hésites pas à la reconstruire plus large.

- Jusqu’à un certain âge, les parents empêchent leurs enfants d’être seul en compagnie du sexe opposé dans une chambre ou une pièce fermée. Je me rappelle encore les parents de ma petite amie d’antan qui rouspétaient de laisser la porte de la chambre ouverte de peur qu’on prenne plaisir à jouer aux docteurs les culottes baissées. Et bien, ils avaient raison, nous prenions un malin plaisir à y jouer … dans le bois.

- Si tes enfants te demandent d’avoir un animal quelconque et qu’ils te promettent de s’en occuper jusqu’à sa mort, ne les crois pas. Si tu décides d’acheter la bibitte en question, prends toi-même la responsabilité de t’en occuper tout en ne négligeant aucunement ta marmaille.

Je crois que l’idée à retenir est qu’il faut laisser ses enfants prendre leurs responsabilités par eux-même dès qu’ils s’en croient prêts. D’aucune façon je vise mes parents par cette note à moi-même. Je crois m’avoir épanouie normalement et plus rapidement que la moyenne. Ils m’ont appris à en prendre et en laisser, tout en respectant mes responsabilités.

15.3.07

Lucide ?

Suite à la parution des livres de Pierre-Léon, Sof et Mère Indigne.

Je lance une idée qui fera peut-être boule de neige ou plutôt l’effet de neige usée des patinoires en plein été. Je perçois déjà une lueur de doute dans vos yeux, mais voilà je me lance.

Vous connaissez déjà le phénomène du carnet de signatures que certains d’entre vous (puisque moi-même j’en ai pas) possédez pour faire signer des personnalités connues. Personnellement, j’ai plutôt pensé à un cartable (non-inclus) de posts signés de la main de l’auteur.

Exemple : Vous aimez me lire (c’est seulement un exemple puisqu’en fait vous me vénérez) et vous avez particulièrement aimé un de mes posts. Vous vous dites alors que pour vous sentir au comble de la joie, il vous fallait un exemplaire papier, signé de ma main. Vous me faites la demande et je vous l’envoie. Une fois la réception faite, vous l’insérez dans votre cartable. Le tout pourrait s’envoyer par la poste ou par l’entremise d’un site.


Alors cette lueur est-elle toujours dans vos yeux ? Doutez-vous encore ou êtes-vous certain que cette idée restera au stade du stade (réellement le dossier du stade olympique n’avance à rien). Ne pensez pas que je lancerai l’idée personnellement à la blogosphère, mais c’est seulement que votre opinion m’éclaircirait sur ma lucidité.

12.3.07

Cheval miniaturisé

J’écris pour mentionner que je n’ai pas grand-chose à écrire, aucun sujet sur quoi divaguer. Le plus excitant ces jours-ci est de savoir si j’aurai un retour d’impôt ou non, ce qui affectera grandement ma décision lors du vote aux élections. Si je dois de l’argent au gouvernement, c’est qu’il est temps de changer de régime. Pas plus fou qu’un autre le gars !

Je me dois aussi de parler de ma doudou, la seule qui a su traverser les 20 ans de ma jeune vie à mes cotés. Elle a su essuyer mes larmes, me servir d’oreiller dans mes moments solitaires et même de papier cul dans d’autres moments plus rock & roll. Si je parviens à me reproduire et donner naissance à une créature uniforme, il est certain que ma doudou lui sera donnée, gage d’amour et seul héritage, patrimoine de ma vie. Sois-dit en passant, je cherche un restaurateur de doudou qui saura préserver ses fibres pour les enfants de mes enfants, les entrailles de leurs entrailles.

Donc quand j’ai surpris mon petit chat à exercer une pression de ses deux petites pattes avants contre la douceur de ma doudou, action que les chats font lorsqu’ils sont foutrement heureux ou qu’ils titillent la mamelles de leur moman, j’ai perçu le geste comme touchant. Je ne pouvais quitter mon regard de ce moment émerveillant qui se rapproche du moment où un père voit son petit garçon planter un clou pour la première fois, finissant souvent par un pouce enflé.

Plus il palpait ma doudou, plus il ronronnait de bonheur. Plus il palpait ma doudou, plus il semblait vouloir se rapprocher d’elle. Plus il palpait ma doudou, plus il semblait la mettre en boule et y fusionner. Plus il palpait ma doudou, plus il faisait aller ses hanches de haut en bas. Plus il palpait ma doudou, plus fort la tape qu’il recevrait …

BANG !

- Hey Duff, c’est ma doudou et il n’est pas question que tu te dépucèles sur cet amas de tissu, sois un homme, un vrai.

Pauvre petit chat, il était bandé comme un cheval miniaturisé.

9.3.07

-es, -ez, tu, vous

Je ne sais pas pour vous, mais personnellement, j’ai été éduqué où le vouvoiement était exempté des conversations. Que je m’adresse à mes parents, à mes grands-parents ou à mes professeurs, qu’ils soient jeunes ou aillent la couche aux fesses pour cause d’incontinence, je n’ai jamais négligé le « tu » au profit du « vous ». Je pourrais blâmer mes parents mais je soupçonnes que la société toute entière se dirige vers l’abolition du vouvoiement. Malheureusement, bien que je croyais que cette tendance n’avait que de bons cotés face au rapprochement des générations, elle a en quelque sorte, joué contre moi aujourd’hui.

J’avais la chance de faire affaires avec le directeur général (D.G.), personnage mythique assez imposant que mon patron vouvoie, que le patron de mon patron vouvoie et que le patron du patron de mon patron vouvoie. Il est inutile de dire que je devais, en toute logique, faire de même ou me taire.

- Bonjour Monsieur D.G.
- Bonjour Marc-Alex, comment est ce que ça va ?
- Bien, très bien et toi, et vous ?
- Bien merci. Je voulais te demander une copie du plan xyz présentant les infrastructures de la rue.
- Sans problème, veux, voulez-tu, voulez-vous le plan en entier ?
- Non, seulement la partie qui m’intéresse s’il te plaît.
- Je t’amenez, t’amène, vous amène cela dans dix minutes sans faute D.G., Monsieur D.G., excuse, excusez-moi.
- Bien, merci.

J’ai du passer pour le gars qui se trouvait dans un monde nébuleux d’esprits perdus. J’ai essayé de me reprendre, sans grand succès d’ailleurs, lorsque je suis allé à son bureau lui porter le plan promis. Un collègue de travail, âgé de plus ou moins 50 ans, m’avouera par la suite que ses oreilles ont grincé lorsque je m’adressais au D.G. en utilisant le tutoiement.

7.3.07

Rappel

Par moment, mon esprit semble nébuleux, perdu dans un monde parallèle, un monde nébuleux d’esprits perdus.

C’est pour cette raison que chaque matin, mon cadran, syntonisé sur HITS F.M., sonne à 6h30. Il me permet d’évacuer le stress par quelques sacres à son intention. À la suite d’une raclée de snooze bien méritée, je me lève, le cadran me l’ayant prédit.


C’est pour la même raison que mon four micro-ondes sonne lorsque mon gruau a atteint son seuil limite d’absorption de chaleur. Sans ça, perdu dans mon monde d’esprits nébuleux, j’attendrais certainement qu’un esprit lucide (très rare dans ce monde parallèle), me dise que si je n’arrête pas le micro-ondes, le tout pourrait devenir boule de feu et étrangement plus goûteux qu’un simple gruau.

Ne serait-ce pas pour ça qu’à la fin de chaque cycle de lavage, cette merveilleuse invention qui évite à mes mains d’être toutes ratatouilles m’avertie par un signal sonore que mon linge est maintenant prêt à être porté un mois de plus. Sans ce bref rappel, le linge resterait certainement une, deux, trois ou même quatre journées de plus dans la laveuse. Et tout le monde sait qu’après quatre jours, il est aussi bien de repartir un cycle de lavage, sans quoi, le linge sentira encore plus mauvais à sa sortie qu’à son entré.

Mon ordinateur me rappelle son ouverture par un son thème de Windows. Le téléviseur me rappelle une émission à la con, programmée pour être enregistrée. Le cadran au putain de thème d’oiseaux qui chante toutes les heures, m’avertissant du temps perdu.

Mais dites moi pourquoi est ce que lorsque je me trouve dans l’autre monde, celui où l’ampoule au dessus de ma tête reste éteinte en permanence, mon Écho Boom Mobile ne crie pas pour me dire ;

- Hey le rêveur, tu vas encore te taper 45 minutes à gosser dans ta porte avec un support parce que tu auras oublié les clés dans mon contact.

5.3.07

Failed

La première fois, j’avais rendez-vous avec toi et une de tes collègues depuis déjà une semaine. J’attendais ce moment avec anxiété, à l’idée de l’effet que je produirais sur toi. Quand je suis arrivé sur place, tu étais absent. Ta collègue a prise un air désolé me disant que tu avais des appels importants à régler. J’ai donc discuté avec cette associée, de tout et de rien, mais surtout de moi. J’étais là pour me vanter, me péter les bretelles, vous éblouir. Quand tu es arrivé, j’étais déjà vendu à une autre, à ta collègue. Il ne restait plus qu’un échantillon pour toi.

Tu m’as quand même pris en considération. J’étais pour être à tes cotés un certain temps, du moins, jusqu’à ce que je trouve mieux.

La deuxième fois, l’anxiété était toujours présente. Quand je suis arrivé sur les lieux, tu étais absent. Tes collègues ont pris un air désolé me disant que tu avais du retard le matin. Qui pourrait te le reprocher ? Enfin, reprocher, c’est ton travail. Quand tu m’as aperçu devant mon poste de travail, l’air perdu, ne sachant pas quoi faire, t’attendant depuis 30 minutes, tu es passé en coup de vent me disant ;

- Désolé, attends-moi là, il y a des priorités.

Tu es allé te faire un café, ne te souciant guère du reste, de ton nouvel employé. Pourtant, cette fois, c’est à toi que se révélait la tâche de te vendre, de faire la grosse tête, de m’éblouir.

FAILED

P.S. Sérieusement, je l’aime bien comme patron. Il faut croire que la première et seconde impression ne sont pas toujours les bonnes. Bref, y en a-t-ils vraiment une de bonne ?

1.3.07

Peau d'ours

Hier, nous (moi et namour) regardions la télévision paisiblement, dérangés quelques fois pas le chat qui se morfondait d’ennuis. Usant d’une subtilité défaillante, j’ai profité d’un moment de télé inintéressant pour lui demander;

- Hey namour, aurais-tu prise du poids ?


- (confiante et convaincue) Ben là, c’est normal, c’est l’hiver.

- Effectivement, excellent sens de l’observation, mais où est le lien ?

- C’est évident, c’est pour avoir moins froid. Tu sais, les ours …

- Bien essayé.

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